Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

24/03/2013

Nicolas Sarkozy victime d'une machination odieuse

 

Nicolas Sarkozy victime d'une machination odieuse

 

Imagine-t-on Nicolas Sarkozy profiter des largesses d'une vielle dame? L'accusation, malveillante, ne tient pas debout. Tout, dans la vie personnelle de l'ancien président, témoigne de sa gérontophobie. Nicolas Sarkozy, sans entrer dans sa vie privée, mais d'après les revues people, préfère les "petites pépées".

Comment aurait-il pu soutirer de l'argent à la très ridée et chère Mme Bettancourt? Lui qui a toujours préféré prendre aux retraités pauvres qu'aux riches héritières! L'accusation frise le ridicule. Tout laissait donc présager une mesure de clémence du juge au nom prémonitoire "Gentil". Et dans un tribunal de surcroît bordelais. Et patatras!

Une mise en examen. Des preuves à l'appui terribles. L'ancien président obligé de passer un examen, lui qui se flattait de ne pas avoir lu la Princesse de Clèves et préférait les romans de Bigard.

Pourquoi faire passer un examen à quelqu'un qui a déjà fait ses preuves? Les Français l'ont déjà noté. La session de rattrapage pour ancien président ne figure nulle part dans la Constitution. Légitime est l'indignation. Guaino dégaine, Hortefeux attise le feu contre les juges "vendus" et le "complot médiatico-politique". L'UMP est folle de rage. Elle a été battue sur le fil par Jerôme Cahuzac, autre victime innocente du "gouvernement des juges", et dont le parti socialiste a souligné "le sens de l'honneur", comme lors de l'affaire DSK. On place son honneur là où on peut.

En France néo-socio-libérale, c'est un honneur que d'être mis en examen pour "blanchiment de fraude fiscale" ou "abus de faiblesse". Il y a des choses bien plus graves : le djiadiste français arrêté au Mali, une "guerre de gauche", le match France-Espagne, les terroristes islamistes bombardés au Mali, et financés par le Qatar, propriétaire du Paris Saint-Germain (qu'attend "Normal Ier" pour bombarder le PSG, et ses stars milliardaires?); les états d'âme de François Fillon, les pérégrinations macabres de tel ou tel déséquilibré, les avalanches...

La politique politicienne, les liaisons dangereuses du pouvoir et de l'argent, continuent à provoquer des avalanches, celles-là de merde... Qui, et quand, sortira vraiment le chasse-merde? A la lecture des médias, y compris les moins "vendus", je suis consterné.

 

Jean Ortiz.

Les commentaires sont fermés.