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29/12/2011

El rey en pelotas

Le roi Juan Carlos presque à poil

Qu'il est dur d'être mono_arque en Espagne lorsque l'on a un gendre ripoux!
L'affaire Urdangarin a obligé hier le roi, pour la première fois, à dévoiler son salaire annuel: 2 920 752 euros bruts, soit trois fois plus que le chef du gouvernement et moins que le footeux Dadid Bécane. Toujours la pelota! Il est vrai que le roi a des frais de bouche, de douche, de chasse, de couronnes, de coiffeur, de pédicure, de cotisation syndicale, de poissonnerie, de messe, de crucifix,  d'esthéticiennne, d'alphabétisation, de cave, de pédicures, de gouvernance, de voiliers, de régates, de vétérinaires, de coatching, de conseils en communication, de remise en forme, de magnétiseuses, de salons de massage, d'abonnements à Marca, Ellas, Play-Boy, Hola...que n'a pas le chef du gouvernement. Sinon, à quoi servirait-il d'être roi?
Le roi s'applique la journée de six heures, ne paie pas la Sécu, et a même, en bon Bourbon, exemplaire, appliqué cette année un "recorte" (amputation) de  15% à son salaire, par solidarité avec les "olivareros" andalous et les travailleuses du Barrio Chino.
En 2011, la couronne a coûté aux Espagnols 8 434 280 euros. Une pécadille!! Tres pepinos!! Il se murmure à Madrid que, face à la dureté des temps, la famille royale serait rachetée par le Quatar et flanquée d'un manager voilé et de Raymond Domenech pour les parties décisives. Encore les pelotas! Le roi n'a pas dit combien gagnaient les infantes. Il a seulement parlé de frais de représentation. Au frais les Infantes! Combien de réfrigérateurs? Motus également sur sa fortune personnelle...Il dit ne plus se souvenir de qui le fit roi...le temps passe tellement vite...
Salud y Republica YA !!
Jean Ortiz

 

25/12/2011

Marinaleda: l'utopie concrète

 
Si vous n'avez pas pu écouter l'émission... c'est réjouissant


> Pour les curieuses et curieux, les utopistes et tous ceux qui travaillent à un autre monde, un bel exemple et un vrai conte de noël !
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Marinaleda, petite ville d’Andalousie au milieu des oliviers, pas de chômeur, pas de promoteur. Collectivisation des terres et des moyens de production, et la démocratie, la vraie, la directe ! Ca marche comme ça depuis 1978 !
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> Reportage Antoine Chao, Daniel Mermet (Là-bas si j'y suis - 19.12.2011).

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Juan Carlos parle de Franco. Il était jeune...