Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

27/06/2012

Présentation d'un ouvrage sur 2000 Républicains espagnols internés à Gurs

Jeudi 5 juillet 2012

11h

Salle Louis Barthou, Hôtel de ville d'Oloron Sainte-Marie

 

Terres de mémoire(s) et de luttes

invite à une conférence de presse pour présenter un ouvrage sous la direction de Jean Ortiz

"Que sont devenus 2000 Républicains Espagnols internés au Camps de Gurs?"

 

En partenariat avec Mer (Pau)

Valls, digne héritier du gouvernement précédent...

Nouveaux épisodes de la chronique des horreurs annoncées du successeur de Sarkozy



Après l'expulsion du père Rom de Macédoine d'un garçon de 17 ans resté seul avec sa mère à Lyon, Manuel Valls met vraiment ses pantoufles dans les traces de Guéant : c'est maintenant la grand-mère d'une enfant de 5 ans qu'il entend mettre dans un avion demain 27 juin à 7h55 du matin, à destination des Pays-Bas d'où elle risque d'être réexpédiée vers l'Arménie qu'elle a fuie.

Une histoire banale de vies dévastées que Sarkozy mettait un point d'honneur à dévaster un peu plus, une voie dans laquelle son successeur semble vouloir le suivre.

 

Lousin SIMONIAN est Arménienne, elle a 55 ans et est divorcée. En 2011, elle avait demandé l'asile aux Pays-Bas, demande rejetée, semble-t-il. Elle se rend alors en France en compagnie de son fils Jirair OHANIAN et de sa petite-fille de 5 ans, Lousiné OHANIAN. La mère de l'enfant est on ne sait où, en Europe, accompagnée du second enfant du couple. Ils sont hébergés par la Croix rouge à Poitier.

Venant après celle introduite aux Pays-Bas, leur nouvelle demande d'asile n’est même pas reçue.

Convoquée hier 25/06 à la préfecture de la Vienne Lousin SIMONIAN y a été arrêté. La classe ! Comme au temps de Guéant ! Son fils, lui, n'a pas été arrêté, probablement du fait de la présence de l'enfant et de l'engagement du candidat Hollande (mal respecté jusqu'à présent !) de ne pas placer de mineur en rétention. Si cette interprétation est la bonne, c'est un mieux... qui ne justifie pour autant pas le reste, en la circonstance l'expulsion d'une grand-mère vers un pays où elle ne connaît personne, loin de la seule famille qui lui reste, son fils.


A Dieppe, plein de tact, le préfet attend (presque) la fin de l'année scolaire pour ouvrir la chasse à l'enfant : madame Mustafa, d'origine roumaine, et ses deux enfants, Béatrice 11 ans et Ionut 9 ans,  vivent en France depuis 2008.

Les deux enfants sont scolarisés à l'école Michelet du Pollet à Dieppe. Ionut a fait un an de maternelle à l'école Vauquelin. Ce sont de bons élèves appréciés de leurs camarades et de leurs enseignants.

Après avoir travaillé comme aide ménagère, Madame Mustafa est inscrite à un stage devant déboucher sur un emploi d'aide cuisinière.

Alors qu'elle allait renouveler sa carte de séjour, une obligation de quitter le territoire français (OQTF) lui a été signifiée. En appel, le Tribunal administratif de Rouen a confirmé cette OQTF. L'étau se resserre autour d'elle et de ses enfants puisqu'elle est assignée à résidence et doit se présenter deux fois par semaine au commissariat. Elle a été informée de son expulsion jeudi 28 juin. Son comité de soutien et RESF Dieppe s'opposent vivement à cette mesure injuste qui touche une femme et  des enfants bien intégrés et désireux de vivre en paix à Dieppe.

En son temps, Nicolas Sarkozy avait mérité le titre de ministre de la Chasse à l'Enfant. Manuel Valls serait-il candidat déclaré à cette succession aussi ?


Reçu d'un anarco-cinéphile bordel laid, Jean-Louis Ribreau, éternel fouteur de merde poétiqco-politico-filmique.

BOLIVIE: menaces de coup d'Etat contre EVO MORALES

COMMUNIQUE DE PRESSE Bolivie : Le PCF condamne les tentatives de déstabilisation Le PCF exprime sa plus vive préoccupation face à l'escalade de la confrontation en Bolivie : une violence favorisée par des détachements de policiers qui se sont attaqués à des sympathisants du gouvernement d'Evo Morales et ont saccagé des bâtiments publics. Ce qui semblait être une mobilisation des policiers pour revendiquer une hausse salariale, est en train de prendre les caractéristiques d'une révolte politique. Aux offres de dialogue avancées par le gouvernement, les policiers mutinés répondent par des actes d'une rare violence. Le gouvernement d'Evo Morales, qui ne cesse d'en appeler au dialogue, dénonce des manipulations politiques et alerte sur la possibilité d'un coup d'État. Le PCF condamne toute tentative d'instrumentalisation par la droite bolivienne des mouvements revendicatifs pour déstabiliser la Bolivie. Il affirme sa pleine solidarité avec le peuple et les forces de la gauche bolivienne. Parti communiste français, Paris, le 26 juin 2012.