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15/06/2012

Espagne: enfants volés...associations et collectifs s'organisent

CONVOCATORIA RUEDA DE PRENSA

Asociaciones y Colectivos de víctimas por el robo de niños, junto con Asociaciones de adoptados, se reunirán el sábado 16 de junio en Madrid

I ENCUENTRO ESTATAL

DE ASOCIACIONES Y COLECTIVOS DE VÍCTIMAS POR EL ROBO DE NIÑOS

Y ASOCIACIONES DE ADOPTADOS

 

Madrid, 14 de junio de 2012. – Los representantes de las Juntas Directivas de 25 Asociaciones y Colectivos de víctimas por el robo de recién nacidos, y Asociaciones de adoptados,   convocan a todos los medios de comunicación a una Rueda de Prensa a las 19 horas del día 16 de junio para comentar las resoluciones del I ENCUENTRO ESTATAL que se celebrará ese día.

Este I Encuentro Estatal pretende poner en común experiencias y determinar necesidades comunes, así como unificar criterios de actuación y elaborar propuestas consensuadas para llevar a las reuniones con el Ministerio de Justicia de manera unánime y adquirir un papel plenamente activo en la Mesa de dichas reuniones.

Todas las Asociaciones y Colectivos participantes en este encuentro esperan que el día 16 sea el inicio de un camino por el que ir juntos, donde algún día puedan encontrar la verdad a través de la unión de sus fuerzas, voces, trabajo conjunto y esperanzas, donde los casos de cada Asociación o Colectivo sean la causa de todos.

 

Lugar: Calle Pechuán Nº 14, Prosperidad (Madrid)

Hora del I Encuentro Estatal: comienzo 11:30 horas, finalización 18:30 horas.

RUEDA DE PRENSA: 19 horas.

Persona de contacto: Soledad Luque Delgado

Teléfono de contacto: 618 77 49 16

 

 

la banque c'est nous

La banque, c'est nous

En sauvant les banques espagnoles, le gouvernement espagnol, le FMI, la BCE, l'Union Européenne... contribuent à sauver les Espagnols.
Les banques sont des organismes altruistes au service des citoyens. Elles assurent une fonction sociale irremplaçable: elles gardent notre argent,  le font fructifier, nous assurent des crédits lorsque nous en avons besoin... Un monde sans banques serait un monde dangereux où chacun cacherait ses sous, son salaire, ses économies, dans un bas de laine, ou dans un soutien gorge, les semelles d'un soulier, un slip "petit ou grand bateau" selon..., près des bourses, sous le lit, dans le matelas, la touffe, derrière la chasse, sous le dentier de la belle-mère... et serait à la merci de n'importe quel sauvageon arabe, gitan, populiste ou d'extrême gauche.
Rendons-nous donc  à l'évidence: on ne peut se passer des banques... D'ailleurs ne dit-on pas: c'est nous qui banquons? Frapper la banque revient donc à frapper les citoyens de base, même si ce sont eux qui y déposent le moins d'argent, mais ne sont-ils pas les plus nombreux ? Les plus riches se contentent de contrôler le système bancaire qui , pour les remercier, gère en leur faveur.
Pour sauver les banques espagnoles, il a fallu des aides publiques  de l'ordre de dix milliards d'euros (10% du PIB) , plus dix milliards d'euros au titre du "sauvetage" des Espagnols par l'Europe généreuse et désintéressée (10% du PIB). Au total, 20% seulement du PIB ont suffi à sauver les Espagnols.
D'ailleurs, les Espagnols vivent tellement bien que 3.417.064 logements sont vides à la suite de l'explosion de la "bulle financière", délaissés par des Espagnols qui les trouvent "pas assez classe". De plus, les Espagnols n'aiment pas les bulles, les boissons gazeuses... Ces logements inoccupés, et qui pourraient être envoyés dans des pays où sévit la crise du logement, sont le résultat du boum immobilier d'une décennie d'alternance, durant laquelle les Espagnols délaissèrent la corrida pour bâtir leur propre nid douillet, mais, trop nonchalants, ne terminèrent pas le travail , faisant flamber les prix de 155%, et s'en mirent plein les fouilles, sur le dos et au détriment des banques... Ce sont les Espagnols qui firent fausse route, d'où la banqueroute.
L'explosion de la "bulle" qu'ils gonflèrent, tout en la coinçant, coûta 150 milliards d'euros (15% du PIB). Les Espagnols, surtout ceux du sud où il fait très chaud, aiment buller... C'est un choix de vie. Qu'ils l'assument! Mais si les banques n'étaient pas là, ils ne pourraient pas dormir la sieste au soleil, en toute quiétude, sous les figuiers de barbarie (bancaire?). Les banques veillent sur le sommeil des hommes du Sud. "La banque est l'avenir de l'homme." (Elsa Triolet). En la sauvant, on sauve l'humanité. Ce sont les hommes et les femmes qu'il faut nationaliser, collectiviser, pas les banques.

Jean Ortiz

bon anniversaire papi

Bon anniversaire papi

Il naquit un 14 juin, il y a 84 ans, à Rosario (Argentine)
"Cada día piensa mejor"
Il connut les frères Castro en exil au Mexique en 1955.
On connaît la suite...
Le débarquement raté du "Granma" sur les côtes "orientales" cubaines, la bataille de Santa Clara fin décembre 1958, le renversement de la dictature le premier janvier 1959, la révolution...
Che président de la Banque nationale (1960) puis ministre des Industries (1961)
Che n'est pas une mitraillette, mais une pensée révolutionnaire en action.
Ses restes furent localisés en Bolivie, en 1997, et transférés à Santa Clara (Cuba), où il n'a pas le temps de se reposer
"Ché vais bien"....