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31/05/2012

Tarn: pourquoi je soutiens Serge et Géraldine, candidats (communistes) du FG

LES  MILITANTS
Il y a ceux qui font de la politique pour "faire carrière", pour rechercher "le pouvoir",
 et ceux qui se révoltent contre les souffrances sociales,
contre la perte des valeurs humaines au profit de l'argent, de la marchandisation,
des hommes et des femmes

qui sont du côté de ceux qui perdent toujours,
dont l'espoir et l'idéal ne s'usent jamais,
qui ont la modestie de se choisir un destin solidaire, partageux, altruiste,
pour qui "l'avenir de l'humanité n'a d'intérêt que vu d'en bas" (Bertold Brecht)
qui ne disent jamais: "on n'y peut rien"

qui croient que l'utopie sera la réalité de demain, si nous le voulons;
des hommes et des femmes
qui guettent l'aurore porteuse de rêves concrets d'émancipation sociale,
qui savent qu'il n'y a pas d'ordre sans justice.
Il y a ceux , cyniques, qui préfèrent le CAC 40 à l'indice de bonheur,
et ceux que blesse chaque injustice, chaque inégalité.
Ainsi sont mes amis Serge et Géraldine: militants, médecins de la vie quotidienne;
ils savent, comme le poète républicain espagnol Antonio Machado,
mort en exil:
qu'"un coeur solitaire n'est pas un coeur".

Jean Ortiz
Maître de Conférences à L'Université de Pau
né à Labastide-Rouairoux (Tarn) Candidat aux législatives à Castres en 1973 et 1975

30/05/2012

Journal de campagne

journal de campagne

 

Je viens de montrer à Idron, lors d'une assemblée citoyenne, à partir de l'exemple latino-américain, comment le changement est possible, à condition d'en avoir la volonté politique "couillue"et de s'en donner les moyens.
C'était pour soutenir le candidat du Front de Guache (PG) contre l'OGM Bayrou. Dans cette circonscription se réalise un vrai travail de front, large, de terrain,  fraternel, au service d'un projet collectif en construction. Il y avait dans la salle la Fase, le PG, de simples citoyens, des enseignants, des syndicalistes, et quelques communistes.

Même démarche et même climat humain et politique, chaleureux et sans calculs, vendredi dernier à Parentis-en- Born (Landes), sur la nécessité d'une politique de classe, de rupture, d'élargissement et de structuration de la démarche, sans dissoudre les partis, mais au contraire en les revivifiant...
Enfin une alternative commence à se dessiner dans ce pays, enfin une espérance, enfin une réhabilitation de concepts, de valeurs, un temps relégués...
Quelle satisfaction pour notre générationn de militants communistes qui a mené ,et souvent perdu, tant de combats !! J'étais heureux.
Il serait criminel que cette espoir qui se lève soit verrouillé ou confisqué par des ambitions personnelles, carriéristes, des calculs boutiquiers pour préserver des pré-carrés, et que des plans de comm prennent le pas sur ce travail  d'édification collective, de rassemblement fraternel, confiant, de reconquête des électeurs populaires perdus, amers, déçus, repliés sur eux-mêmes ou sur des critères d'auto-défense, identitaires...
Je fais confiance  au peuple des militants, à mon parti, à Pierre Laurent, à son analyse fine, à sa capacité d'écoute, avec modestie et ouverture, et à nombre de militants rencontrés lors d'une soixantaine de rencondres (docus-débats..) depuis octobre, aux sensibilités parfois différentes, mais qui veulent tous en finir avec le capitalisme, cannibale, oppresseur, liberticide, aliénant...

La démarche Front de gauche doit s'ancrer, se prolonger, se structurer, s'élargir...Nous avons ici et là encore quelques contre-exemples que l'histoire et le mouvement populaire balayeronT.
Jean Ortiz

Chile: el aire puro se paga !!

Message de mon ami Carlos Poblete, communiste chilien

La qualité de l'air, cela se paye  !

Vert de colère !!


Aire, no te vendas.

 

 

El verso del rótulo " Aire, no te vendas," pertenece al conocido poema Oda al aire, de Pablo Neruda,publicado hace casi 60 años.

 

 
El vate se anticipó a la sociedad de mercado,y a la descomunal vorágine consumista que agobia y aliena al mundo del capitalismo más desenfrenado.El poeta lo advirtió.
 
La noticia dice que ahora todo visitante de un centro comercial que asista en su automóvil, deberá pagar por estacionar su vehículo en el recinto. También lo mismo sucederá si desea hacer uso de los servicios higiénicos.
 
Que el sistema y su modelo y sus ansias de continuar amasando ingentes fortunas está desatado no existe duda.Aquí en este pobre país esquilmado,sin soberanía llamado Chile, todo se cobra y todo se paga.Ya lo sabe el mundo : La educación,la salud,los servicios esenciales todos van a cuentas....
 
Vivimos en el país de la especulación en el que, como se ha dicho, todo tiene su precio y nada posee valor. Coincidentemente este es el país más privatizado del mundo,que ha irradiado su paradigmático mal ejemplo a otros.Privatizar es negar.
 
Al mundo de los negocios no ha escapado nada,la voracidad no tiene límites.La previsión,los deportes,el sistema de transportes,las artes,todo está en sus manos.La vida y la muerte son asuntos de negocio.
 
Visionario fue nuestro poeta nacional.Ninguna injusticia escapó a su denuncia bellamente dicha.En el mismo poema dice : " El agua se vendió.../ Vi la luz de la noche racionada.../ Aire,no te fíes de nadie. "
 
Es hora que los pueblos escuchen y sigan a sus poetas....
 
 
Carlos Poblete Avila 
Profesor de Estado
 
Chile,mayo 29 de 2012.