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29/05/2012

Noir Gilles Vincent

http://gillesvincent.over-blog.com

L'écrivain Gilles Vincent est un ami. Ils font partie, elle et lui, de "mi gente". Gilles est un écrivain de polars talentueux. Je n'ai pas l'habitude de flatter dans le sens du poil... d'ailleurs Gilles a peu de cheveux.

Si je vous propose d'aller sur son blog, et d'entrer dans son univers romanesque, ce n'est pas par "amiguismo", mais parce que les romans noirs de Gilles méritent que l'on éteigne la télé.

Le dernier en date "Parjures". Je vous jure qu'il est par mi les romans qui ne me sont pas tombés des mains.

Noir, Gilles Vincent. Et quelle chance, Guéant n'est plus là.

Jean Ortiz

Brèves de comptoir au mythique bistrot communiste nîmois: le Prolé

Un Béarnais de passage:
Quelle différence y a-t-il entre Hollande et Mélenchon?
L'un est un toro "manso", "mansote", l'autre a de la "caste" et de la "bravoure".
Cherchez lequel.

ou: l'un peut charger si on le pousse
l'autre part de loin et renverse cheval et picador

ou: l'un "va a menos" (s'éteint), après une entame de faena convenable
l'autre "va a más", il s'améliore de bout en bout de la faena

ou: l'un demande à ses conseillers en comm comment toréer
l'autre se croise, "se arrima", et "se la juega"

ou: l'un torée "con el pico de la muleta", en cherchant le "sitio"
l'autre trouve le "sitio" qui fait charger le toro-capital: la nationalisation.

Un Béarnais non Béarniais

VUELO PARA LA NADA

VUELO PARA LA NADA...et vite, vite, le Front de Gauche.

Pasarse un domingo en un hospital nuevisimo y friísimo,
con pinta de aeropuerto,
y vistoso, arrogante, cínico,
ajeno a los dolores máximos,
y ajeno a cualquier dolor,
es pura maravilla política.

Unos pasillos sin fin, casi desiertos,
y en cada habitación de "cuidados paliativos",
una soledad vertiginosa,
una agonía inconclusa,
y poquísimas enfermeras.
Sarkozy, Fillon, y todos los aficionados a la "Europa liberal":
¡sois unos grandes hijos de puta!

Hay que escoger, la mierda 40 (el CAC40) o la salud.
Habéis infartado el servicio público, por no ser "rentable".
Pero ustedes tienen sus buenas y caritas clínicas privadas...
Insoportable balance dominguero, en Castres,
de una política salvaje, que privatiza hasta el dolor.
Deleznable sociedad la que privilegia las ganancias, privadas,
privadas de piedad,
y menosprecia la Humanidad.

En este aeroportuario hospital de Castres,

cuidad de mi juventud política,
pocas idas tienen vueltas.
A pocas esperanzas se da el alta.
Está prohibido soñar.
Enrique, padre, vuelve a sacar la vieja metralleta.
Nos estan merkeltilizando.

Jean Ortiz