Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

25/05/2012

les damnés de l'eau

LES DAMNES DE L'EAU
LOS SIN AGUA



Un documentaire de Jean ORTIZ et Dominique GAUTIER
qui dénonce les ravages d'une multinationale "voyoue", qui confisque l'eau des communautés rurales du centre du Chili, et empoisonne les quelques filets restants. Elle a construit, en pleine Cordillère des Andes, la plus grande poubelle chimique d'Amérique latine.
Les "comuneros" résistent...



24/05/2012

rap à Mélenchon, aux vapeurs de "Habana Club"

RAP (populiste) a MELENCHON  (paroles de Zitro Naej, poète serbe)

Eh "boudu con", je vote Mélenchon,
et en votant, pour Mélenchon,
je vote coco et plus encore,
je le sais, et je le sais,
ya des cocos, qui ne sont pas, trop folichons,
ils craignent la, contrefaçon.
Quel  risque ya,
si nous restons,
tous communistes,

et fiers de l'être?

Quel risque ya, à ouvrir grande,
la maison?

Mélenchons-nous,
  et nous avons, bien des raisons,
et beaucoup de, motivations.
Nous voulons, et "boudu con",

construire à l'unisson,
un socialisme, de frissons,

pour les patrons.
Nous conjuguons, l'idée coco,
chacun chacun, à notre façon.
Quel danger ya, à la déclinaison,
en association,
si nous gardons, un parti
de, confrontation, et "boudu con", de rébellion,
de conjonction, et de radicalisation,
et con, de transformation?
Je fais confiance, je le confesse,
à condition, que "boudu con",
les valeurs que, nous partageons,

contestent le système, con,
sans concession.
Je fais confiance, à la raison,
des militants du "boudu con".
Préservons là, et ouvrons la,
notre habitation.
Coco coco, toujours coco.
Ne soyons pas sectaires, con.
Unis, unis, sinon pas de, révolution.
Et "boudu con", et "boudu con".
Je vote Mélenchon.


 ( paroles post-4 mojitosl)

Poema a mi hermano y a su cuerpo muerto

Poema a mi hermano Enrique
(nuevo poemario)

Entré en tu "Esclerosis Lateral Amiotrófica",
sabias palabras, más cuerdas y menos dolientes
para decir: "enfermedad de Charcot".
Charcot, un nombre como una burla
un misterio
una película muda
un mundo gélido

¿Quién fue aquel poeta,
aquel explorador
que dio su nombre a esa caída sin fin?

Entré, pero sin entrar:
ya no había espacio
para tan rara función

Día tras día se fueron despidiendo los miembros, los músculos,
las entrañas, los pulmones
Respirar: en cada aliento, una hazaña

Hermano, medio limón,
crucificado,
momificado,
motorizado,
eternamente inmóvil,
Hermano encerrado en tu cuerpo ya invertebrado,
espíritu libre en su cautiverio,
quise compartir hasta el final
tu soledad con compañía,
tu insoportable lucidez
de chilotito tierno,
de milpa entrañable

Hermanos bromeando juntos
para olvidar el imposible olvido
esperando el final de la función,
dándole la bienvenida a cada mañana ganada,
a cada noche congelada

Contigo, se me va la última raíz,
el último recuerdo:
el padre, nuestra infancia fría,
nuestra juventud comunista,
nuestras travesuras en los montes,
el trinar de los pájaros,
nuestros sueños desmedidos y sencillos.

Moriremos juntos
al alimón,
para seguir respirando,
guiñándole al payaso
Le clown va mourir

Claro que si Alfons: entre el dolor y la nada,
me quedo con el dolor.


Jean Ortiz, 1/02/2012